Accès aux soins de qualité
— Une solution cohérente pour un développement sanitaire durable —
Essentiels à une progression sanitaire durable, les soins de santé primaires se développent pourtant de façon inégale dans les pays du Sud.
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Plus de trente ans après la déclaration d’Alma Ata, qui visait à garantir la santé pour tous en l’an 2000, force est de constater l’échec. Malgré de nombreux progrès, une large part de la population mondiale a vu son état sanitaire stagner, voire se détériorer. L’accès aux médicaments et au traitement des maladies infectieuses telles que la tuberculose et le paludisme reste un problème dans de nombreuses régions du monde. Plus de 6 millions d’enfants de moins de 5 ans meurent chaque année de maladies guérissables ou évitables, et environ 300 000 femmes de complications liées à la grossesse, à l’accouchement ou au post-partum (rapport OMS/Banque mondiale/Unicef de 2012). Les inégalités sont criantes : l’Afrique supporte à elle seule un quart de la charge mondiale de morbidité, et représente une part infime du budget consacré à la santé à travers le monde, selon l’analyse de Médecins du Monde réalisée à partir du rapport sur la santé de l’OMS en 2006.
La Fondation entend ainsi apporter son soutien pour que l’accès aux soins de santé, l’un des droits fondamentaux de tout être humain, soit reconnu aux communautés les plus fragiles des pays en développement et aux populations plongées dans des situations de crise humanitaire liées aux conflits ou aux catastrophes naturelles. Elle intervient notamment au Liban depuis 20 ans et apporte un soutien à la prise en charge des femmes victimes de violences sexuelles en République démocratique du Congo et en République Centrafricaine.
Soutien au centre médico-social de Khaldieh — Liban — |
Prise en charge médicale des femmes victimes de violences sexuelles — République Démocratique du Congo — |
Mise en place d’une unité médicale mobile à la frontière libano-syrienne — Liban — |
Création d’un centre de prise en charge des victimes de violences sexuelles — Centrafrique — |
Etude d’impact du suivi téléphonique dans la prise en charge onco-hématologique — Côte d’Ivoire — |
Soutien à la Maison médicale de Wassadou — Sénégal — |
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Soutien au centre médico-social de Khaldieh — Liban — |
Prise en charge médicale des femmes victimes de violences sexuelles — République Démocratique du Congo — |
Mise en place d’une unité médicale mobile à la frontière libano-syrienne — Liban — |
Création d’un centre de prise en charge des victimes de violences sexuelles — Centrafrique — |
Etude d’impact du suivi téléphonique dans la prise en charge onco-hématologique — Côte d’Ivoire — |
Soutien à la Maison médicale de Wassadou — Sénégal — |
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Violences sexuelles en RCA : signature de tous les acteurs pour une prise en charge globale
Une étape majeure a été franchie cette semaine à Bangui dans la mise en place d’un programme de prise en charge globale des victimes de violences sexuelles en Centrafrique. La Fondation Pierre Fabre a signé avec l’ensemble des parties prenantes centrafricaines du projet les conventions et protocoles d’accord, permettant le démarrage des activités.
Centrafrique : un nouveau programme pour les victimes de violences sexuelles
Malgré ses richesses naturelles, la Centrafrique figure parmi les nations les plus pauvres du monde. En proie aux conflits depuis près de vingt ans, on y compte des dizaines de milliers de victimes de violences sexuelles. La Fondation Pierre Fabre et l’Agence Francaise de Développement ont signé le 28 novembre un partenariat en présence du Dr Mukwege, prix Nobel de la Paix 2018, pour un centre de prise en charge des victimes de violences sexuelles à Bangui.
La Fondation Pierre Fabre a célébré ses 20 ans d’engagement pour la santé dans les pays du Sud
La Fondation Pierre Fabre a célébré ses 20 ans d’engagement pour la santé dans les pays du Sud 13/09/2019 Le 12 septembre 2019, plus de 300 personnalités du monde scientifique,